De l’Allemagne aux sommets alpins : l’aventure Gravel de Lucas

Elles-ils ont traversé les Alpes et elles-ils racontent...

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Peux tu te présenter ?

Je m’appelle Lucas, j’ai 24 ans. Je suis étudiant en Allemagne et passionné de Gravel.

Qu’est ce qui t'as motivé à te lancer dans un voyage itinérant à vélo dans les Alpes ?

Je n’étais encore jamais venu dans les Alpes françaises, mais j’en avais tellement entendu parler que j’ai eu envie de les découvrir à vélo.

Quel itinéraire as-tu emprunté et pourquoi ?

J’ai parcouru Route des Grandes Alpes® version Gravel en dix jours. Le Gravel, c’est toujours une promesse d’aventure, et j’adore grimper des montagnes à vélo. Le profil de RGA® Gravel était parfait pour ça.

Comment t’es-tu organisé ?

J’étais en totale autonomie : j’ai dormi sous la tente, soit en pleine nature, soit sur des emplacements de camping.

 

S’équiper pour Route des Grandes Alpes® Gravel

Comment as-tu trouvé la Route des Grandes Alpes® version Gravel ? Tu la recommanderais à d’autres cyclistes ?

La RGA® Gravel, c’est une vraie aventure. Le parcours est superbe, mais il faut une bonne condition physique : environ 95 % des chemins se roulent bien, et le reste demande parfois de pousser le vélo. Je suggérerais juste de mieux informer sur les portions fermées, comme le tunnel du Parpaillon. Pour le reste, aucun doute : je la recommanderais sans hésiter à mes amis !

Ton meilleur souvenir ? Le pire ?

Ce qui m’a le plus marqué, c’est de voir les paysages changer à mesure que je me rapprochais de Nice. Les portions Gravel entre Val-Cenis et Nice ont été les plus belles : le Galibier, le Parpaillon, les passages près des stations… toutes offraient des points de vue incroyables.

Et le pire ? Franchement, rien qui mérite ce nom sur un tel parcours.

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Ton tiercé des cols ?

Difficile de choisir, tous les cols gravel étaient superbes !

Au début, les pistes proches du Mont-Blanc étaient impressionnantes, puis celles bordant les glaciers et les montagnes encore enneigées. Mais si je devais en retenir trois :

Une anecdote à nous partager ?

J’ai rencontré un cycliste qui m’a raconté que son grand-père, bébé, avait été la première personne à traverser le tunnel du Parpaillon. Malheureusement, le tunnel était fermé, j'ai donc dû passer par-dessus. Un moment un peu effrayant... mais inoubliable !